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Le monkeypox est-il la prochaine épidémie ?

Précisément parce que les cas actuels ont jusqu’à présent probablement été transmis par contact physique étroit, « une épidémie majeure est plutôt improbable », explique le Dr. Charlotte Hammer du Downing College de Cambridge, Royaume-Uni.

« Dans certains groupes de population qui ont beaucoup de contacts physiques, par exemple parce qu’ils vivent dans un petit espace, le risque d’infection est bien sûr plus élevé.

Comment pouvez-vous vous protéger?

Selon l’OMS, la mesure la plus importante prise par les autorités sanitaires est la recherche des personnes contacts des personnes infectées afin d’interrompre les chaînes de transmission.

Il existe également un vaccin efficace qui, selon l’OMS, est proposé aux contacts à haut risque. Il s’agit d’un développement ultérieur du vaccin contre la vaccine, qui a été utilisé contre la variole. Étant donné que les virus sont similaires, il devrait également avoir une efficacité de 85 % contre la variole du singe.

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En france, la recommandation générale de vaccination contre la variole a été levée en 1979, car cet agent pathogène avait été éradiqué et le vaccin avait provoqué assez souvent des effets secondaires graves.

Il existe maintenant un nouveau vaccin antivariolique de troisième génération qui semble avoir moins d’effets secondaires. Ce vaccin a été approuvé, mais selon l’OMS, il n’est pas encore largement disponible.

Une grande partie de la population mondiale n’est donc pas vaccinée contre la variole. Mais même parmi les générations plus âgées, la protection vaccinale a probablement diminué après une bonne quarantaine d’années.

Cependant, la vaccination d’il y a longtemps semble toujours aider contre une infection actuelle par le virus de la variole du singe : selon l’OMS, ceux qui ont été vaccinés sont plus susceptibles d’avoir une évolution plus bénigne de la maladie.

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